HELLER 63003 1/43 Wabco 500 B Digger

HELLER 63003 1/60 Tractopelle [2015]

 

Kit au pedigree intéressant : d’origine Lindberg, les moules ont été achetés par Humbrol puis « offerts » à Heller qui les a édités dans la gamme Bobkit en 1986. Ces kits sont réédités pour la première fois cette année.

L’échelle annoncée par Heller est fausse : en fait on est plutôt au 1/43. Ceci est du au fait que les trois kits de la série se partagent les mêmes pneus !

Ceci dit le Tractopelle Wabco 500B est bien détaillé, les seules modifications importantes à la maquette étant l’ajout de lignes hydrauliques et de caches optiques.

 

Un modèle original et sympathique.

 

© JC Carbonel / Modelstories 2016

Assemblage de la caisse. Le toit de la cabine n’est pas collé pour permettre d’insérer les panneaux transparents après peinture.

Assemblage du bras de levage. Attention a bien suivre la notice corrigée de Heller pour le positionnement des vérins.

Le filtre à air (en bas à droite) est moulé « à moitié » donc il faut remplir ce demi cylindre par une chute de grappe.

Assemblage du godet. Aucune difficulté à condition d’être précautionneux lors de l’assemblage des pièces mobiles.

Les demi-pneus sont collés à la colle cyanoacrylate.

Les pseudo-détails sur les flancs des pneus n’existent pas en réalité : on les ponce !

Mise en place du godet. Avec un peu de soin, tout se mets en place sans difficulté.

Mise en place du tuyau d’échappement.

Les lignes hydrauliques moulées sont effacées à coup de cutter avec finition au papier de verre fin (400).

Du fil électrique fin maintenu par des sections de tube Contrail représentent les lignes hydrauliques.

Les fentes pour enclipser le dessus de caisse sont légèrement enbavurées : à nettoyer au cutter (attention aux doigts).

Vu les grandes baies vitrées, j’ai ajouté un tableau de bord...complètement fictif faute de documentation.

Avant assemblage les pneus sont peints en un mélange de noir, gris et brun.

Les jantes (comme le reste du véhicule) ne sont pas peintes mais juste vernies en mat pour éviter « l’effet plastique ».

Les roues assemblées.

Installation du dessus de caisse.

Les garde boues arrière réclament des caches optiques. Cet outil permet de prendre l’empreinte de la forme bizarre du châssis.

Les caches optique en place.

Comme le châssis retient l’un des axes sur lequel s’articule la partie avant du véhicule, il importe de le coller bien emboîté pour que la section avant ne « flotte » pas sur son axe.

L’engin terminé. A noter que le pare-brise arrière « flotte » dans son logement.

Toutes les parties où la peinture jaune est erraillée sont peintes en un mélange de noir, brun et « gun-metal ».

Erraillage en « gun-metal » avec à la fois un pinceau brosse et un pinceau fin .

Les éraillures récentes sont réalisées en « flat aluminium », là aussi avec un brossage à sec suivi d’une reprise au pinceau fin pour faire des traînées.

Un lavis de rouille achève de vieillir l’engin.

Les pneus sont empoussiérés avec un lavis beige.

Un lavis brun permet de mettre en valeur les détails.