Revell 06695 1/93 Navette de Commandement de Kylo Ren

Revell 06695 1/93 Kylo Ren’s Command Shuttle [2015]

 

Le vaisseau en lui-même n’est pas fascinant, évoquant sensiblement la « navette Tyridium » de l’épisode VI...mais en noir (il existe une version jouet métal en blanc : erreur ? Version de préproduction? Dans le film l’engin apparaît noir).

 

Toujours est-il que Revell a bien réussi ce modèle avec des pièces très fines (armement, train d’atterrissage) et une gravure également d’un bon niveau. Dans les vaisseaux « Episode VII », Revell n’ajoute plus la patine lourde des séries précédentes, ce qui est un plus...mais le maquettiste devra ici s’essayer à une patine légère (les méchants de Star Wars ont toujours bien entretenu leur matériel) pour essayer de casser l’apparence très sombre de l’engin.

Pour ma part j’ai utilisé du gris « RLM66 » pour érailler certains panneaux et ajouté des cabochons de « scrapbooking » partout où il pouvait y avoir des phares ou des feux de position.

 

Conclusion : un grand modèle (35 cm de haut) bien réussi par Revell

 

Remerciements à Revell pour la fourniture du kit présenté ici

 

© JC Carbonel/ Modelstories 2016

Une petite erreur de Revell : la verrière du cockpit peinte en rouge vif : il ne reste plus qu’à décaper la pièce (transparente au demeurant) et ensuite la repeindre en rouge transparent par l’extérieur.

Revell fournit la tranche des ailes en inserts de bord d’attaque et de fuite. Bien vu  mais une installation qui demande de l’attention vu la longueur des pièces.

Aile complètement assemblée. Là aussi : taille des pièces = beaucoup d’attention.

La trappe d’accès est mobile : attention à bien affiner l’ouverture dans la coque pour que les « vérins » ne frottent pas sur les parois en risquant de se briser.

Gros plan sur le vérin droit en position.

Des petites sections de carte plastique sont nécessaires pour que ces pièces de détail ne « flottent » pas.

Position du train d’atterrissage : peu claire sur la notice, sur le plastique des détrompeurs évitent de permuter les pièces de train.

Cabochons de « scrapbooking » simulant les phares d’atterrissage. A noter aussi « l’écaillage » de peinture réalisé par l’auteur.