REVELL H-111 1/72 Martin B-26B

REVELL H-111 1/72 Martin B-26B [1966]

 

Avec ces vieilles maquettes on ne sait jamais trop à quoi s’attendre. Ici nous avons un modèle d’une qualité acceptable « sous les rivets » avec une bonne justesse des formes et dimensions mais des bosses de prise d’air moteur sous-dimensionnées, des joints ailes-fuselage  et fuselage-verrière perfectibles et des décalques épais qui épousent difficilement les formes de l’appareil.

 

Documentation :

· Squadron-Signal n°50 B-26 Marauder in action (photos « Flak Bait »)

· Scale Models (plan date inconnue)

· US Medium Bomber Units of WW2 (photos « Flak Bait »)

· Site du musée de l’air (vue du cockpit)

· The Ninth Air Force in colour (photos couleur « Flak Bait »)

· Documents France-Soir (Purnell’s history of World Wars) Bombardiers 1939-1945 (écorché)

 

Conclusion : on a certes fait mieux depuis mais la bête a encore de beaux restes...

 

© JC Carbonel / Modelstories 2014

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Ponçage des rivets en essayant de garder ceux liés aux lignes de structure.

Détaillage des flancs de cockpit sur la base des photos de l’appareil conservé au MAE.

Les nacelles moteur direct de la boite. Les moteurs sont beaux et gagneraient à être montrés.

Le cockpit : consoles latérales, rails sur lesquels coulissent les sièges et prolongation du plancher au-delà de la baie de train avant. Tout cela en profilés Evergreen de divers types.

Tourelles dorsale et arrière : montage direct de la boite, on pourrait s’y investir plus.

Ailes et empennages. Prévoir de creuser les phares d’atterrissage.

Toutes les nervures du poste bombardier sont refaites en profilé.

Les capots moteurs sont les pièces les plus modifiées : il manque la lèvre supérieure de la prise d’air inférieure (bandelette Evergreen de .10 d’épaisseur) et bien sur il faut gonfler les bosses des prises d’air supérieures.

Joints à reprendre sous les nacelles moteur.

Train d’atterrissage : j’ai installé une pièce carrée qui sert d’appui aux renforts /vérins de relevage des jambes principales.

Cockpit et logement du train avant (cloisons avant et arrière rajoutées).

Points d’appui pour les renforts du train principal.

Les échappements sont poncés et remplacés par des tubes Contrail / Aéroclub.

Le cockpit est détaillé avec un tableau de bord récupéré sur Internet et des sangles de siège en bande autocollante Tamiya.

On referme le fuselage. De la colle en tube est utile ici car elle s’évapore moins vite que la colle liquide et il faut se donner le temps d’ajuster tout çà...

Quelques retassures à combler.

Et le joint du haut de fuselage.

« mise en croix ». Le vieillissement de la bête a requis une sous-couche kaki, des ligne de structure vert olive, des jets d’huile noir brillant, du « cramage » derrière les échappements beiges, et des taches d’aluminium en micro-peinture. Les bandes de débarquement sont en gris clair et noir des pneus car passablement passées (l’avion est vu au printemps 45)

Les deux renforts du train d’atterrissage principal.