AMT 664 1/200 Bird of Prey

AMT 664 1/200 Bird of Prey  [2011]

 

AMT donne 1/350 pour son kit mais je l’estime plutôt au 1/200 comme je l’avais indiqué dans ma présentation de l’édition originale de ce kit . A l’époque j’avais aussi loué le gros effort d’AMT au niveau du détaillage, fin et précis  de ce kit. La présentation édition a été améliorée (si!) par la représentation du train d’atterrissage, de la rampe d’accès et l’ajout de nouvelles pièces pour représenter les ailes relevées. Hélas malgré les jambes de train en métal, celui-ci reste très fragile aussi ai-je choisi de monter le modèle sur son pylône métallique...mais au sol, train sorti!

Le résultat est un modèle vraiment spectaculaire sur son petit diorama de la surface de Vulcain (scène de « Stark Trek III : The Search for Spock)…

 

Remerciements à Cocktail Distribution pour la fourniture du kit présenté ici.

 

© JC Carbonel / Modelstories 2012

Le socle de cette édition est bien plus solide que celui de l’édition originale. Les décalques n’ont pas été utilisée sur ce modèle.

Assemblage des baffles d’articulation des ailes. Attention il y a trois positions d’ailes possibles, avec 3 jeux de pièces différents : ne pas se tromper

A : les articulations des canons sont remplacées par des disques découpés à l’emporte-pièce.

B : les canons sont creusés.

Il est préférable de maintenir les deux demi-ailes avec des serre-joints pour éviter des bords d’attaque / de fuite qui baillent...

A : un peu de lest dans la queue aide à faire tenir l’engin sur ses pattes.

B : il y a lieu de biseauter les pièces de flanc pour qu’elles d’adaptent bien l’une à l’autre.

AMT indique maintenant l’origine de fabrication de ses produits de manière précise.

Assemblage du fuselage : l’utilisation de serre-joint et de bande collante est conseillé.

Les ailes sont assemblées à leur baffles d’articulation.

Il y a une faille entre l’aile et le fuselage que l’on peut boucher avec une section de profilé Evergreen. D’autres profilés améliorent les bords d’attaque et de fuite.

Le winglet porteur de l’armement est amélioré à coup de profilé Evergreen (bandes de 0, 25mm ou barrettes en U)

De chaque côté du réacteur il y a aussi des panneaux à reprendre en carte plastique.

Le train d’atterrissage. Malgré les pièces en zamack, le train reste faible car tout le poids repose sur les « orteils » avant. Le collage à la colle cyanoacrylate est insuffisant, peut-être avec de la colle « Araldite »?

Des petits cabochons (accessoires de « scrap booking ») simulent les feux de position et phares d’atterrissage.